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Belle semaine
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Vous pourrez lire un peu de Charlie, de Moi, une recette de tiramisu ...
Belle journée !
Ça mijote a déménagé !
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A tout de suite !
L'envie d'une grossesse, l'envie d'accoucher, l'envie d'un enfant ...
Ce sont des choses très différentes, et pourtant tellement liées, indissociables.
C'est même parfois compliqué de faire la différence entre toutes ces envies.
Je crois pouvoir dire que je suis certaine de ne plus vouloir d'enfant (à 99% ... ou 98% ... presque certaine quoi ... oui presque).
J'ai mon trio, mes 3 Jolies ... Autant après ma deuxième la question restait ouverte, autant cette fois, j'ai la sensation qu'elle est fermée.
Mais alors, pourquoi est-ce que je n'arrive pas à faire le deuil d'une nouvelle grossesse ? D'un nouvel accouchement ?
Pourquoi je jalouse (gentiment hein !) les femmes au ventre rond, les annonces de tests positifs ?
Pourquoi j'ai tellement envie d'être à la place des futures Mamans de Baby Boom ? Oui parce qu'en plus je me fais du mal volontairement, je regarde cette émission ... !
J'ai vecu 3 accouchements parfaits, et je pourrais encore en vivre autant comme ça. Au risque de passer pour une folle (trop tard ?) j'aime accoucher ! Voilà, c'est ça, j'aime être enceinte et j'aime accoucher ! J'ai vécu des moments tellement magnifiques et magiques, comment je peux renoncer à ça ?
A chaque grossesse j'ai appris de moi.
A chaque accouchement j'ai appris de nous.
Chaque fois ça m'apporte tellement.
Comment ce dire que c'est terminé ?
Mais je n'attends pas de réponse à ces questions ...
Je me demande juste si un jour ces envies disparaitront ?
Ou peut-être prendront-elle le pas sur l'envie d'un enfant ?
Et puis finalement ... peut-être que j'aime ce doute ...
Et chez vous, vous arrivez à y voir clair et à synchorniser vos envies ?
Belle journée !
Pour le 1° anniversaire de Jolie Augustine j'avais fait un Napolitain !
Pour ses 2 ans, j'ai continué dans le même esprit avec un Kinder Délice !
Géant pour le partager, à la noix de coco parce que ce sont les meilleurs !
On retrouve le gout du vrai, servi bien frais il se mange tout seul !
Kinder Délice Noix de coco géant
On y met quoi ?
La génoise au chocolat
3 oeufs
75g de sucre roux
5cs de lait
25g de farine
50g de Maïzena
25g de cacao en poudre non sucré
1/2 sachets de levure
La crème coco
250g de mascarpone
60g de sucre
50g de noix de coco râpée
5cs de lait
La fine couche de chocolat
1 feuille de gélatine
100g de lait
2g de cacao en poudre sans sucre
25g de sucre
1cs de rhum brun
Le glaçage
200g de chocolat à dessert
5cl de lait
On fait comment ?
On commence par la génoise : Séparez les blancs des jaunes d'oeufs.
Mélangez les jaunes avec le sucre et le lait. Ajoutez la farine, la Maïzena, le cacao et la levure.
Incorporez délicatement les blancs battus en neige.
Versez la pâte dans un moule rectangulaire couvert de papier cuisson.
Enfournez dans un four préchauffé à 180° pour 20 minutes.
Laissez refroidir puis coupez en deux pour obtenir 2 couches de biscuits.
Préparez ensuite la fine couche de chocolat.
Faites ramollir la feuille de gélatine dans un bol d'eau froide.
Mélangez le reste des ingrédients dans une petite casserole. Retirez du feu et incorporez la feuille de gélatine essorée.
Bien mélanger et réservez au frais.
Pour la crème : battez le mascarpone avec le sucre, la noix de coco et le lait.
Répartissez la crème sur un des biscuits. Lissez.
Versez la couche de chocolat, puis déposez le second biscuit.
Faites fondre le chocolat avec le lait pour le glaçage.
Versez sur le gâteau, répartissez et lissez.
Vous pouvez décorer, ou parsemer un peu de coco rapée !
Servez-le bien frais !
Je vous assure, vous allez vous régaler !
Il y a deux ans la journée avait un goût tout à fait particulier ...
Et le 10 novembre sera pour toujours une journée douce et sucrée.
Il y a deux ans jécrivais ces mots, envie de les partager avec vous aujourd'hui.
Un peu de moi, d'elle et de nous.
Nous pensions avoir trouvé notre équilibre … 2 enfants, 2 parents … ça nous semblait si simple et évident …
Mais tu as su te faufiler jusqu’au creux de mon ventre. Tu nous as choisis, tu as décidé que notre famille serait aussi la tienne.
Tu étais Minuscule mais tu as tout chamboulé …
Tu étais Minuscule mais tu prenais déjà tellement de place dans nos têtes, nos cœurs, nos vies …
Comme une évidence.
Cette grossesse aura été une grossesse à part sur bien des points, une grossesse à ton image, pleine de surprises.
Nous t’attendions, nous nous étions mis en tête que tu serais en avance. Chaque jour on se demande comment la journée se terminera.
Tu as su nous faire patienter.
Cette nuit-là est synonyme d’insomnie. Je n’arrive pas à trouver le sommeil, mais pourtant je suis bien.
Nous sommes le 10 novembre, une semaine tout juste avant le terme.
J’ai les mains posées sur mon ventre et je laisse les minutes s’égrainées …
Je ressens quelques contractions, espacées, non douloureuses et tellement habituelles …
Vers 3h30 elles vont changer. Rien de douloureux non plus, mais elles sont différentes. A ce moment-là je sais très bien ce qu’elles annoncent !
Elles vont vite se rapprocher et s’intensifier. A partir de 4h30 elles s’enchainent, toutes les 5 minutes, elles me serrent et m’envahissent le dos.
Ton papa se réveille, il se rend tout de suite compte que quelque chose se passe, il comprendra très vite lui aussi …
J’essaye de trouver une position pour me soulager, c’est difficile. Je m’installe sur le ballon.
Ton papa s’agite … un peu trop pour moi. Je sens que j’ai besoin de calme pour apprivoiser cette douleur. Je refuse de me laisser emporter. Je profite de chaque répit entre les contractions pour souffler.Petit à petit on se prépare, on prépare les affaires de tes sœurs qui dorment sans se douter …
On appelle ta Mamy pour qu’elle vienne les surveiller. Elle arrive vite, elle sera là à leur réveil …Il est 6h00 et nous partons pour la maternité l’esprit tranquille.
La route se fait dans le calme, on compte, on pronostique, on imagine …
En arrivant à la maternité 1/2h plus tard on avance au rythme des contractions.Sortir de la voiture est compliqué, je trouve l'assenceur trop long, les couloirs trop grands ...
Une aide-soignante nous accueille et nous installe dans la salle d’examen. Elle s’éclipse.Je préviens ton papa que je ne pourrais pas m’allonger pour un monitoring. J’ai vraiment trop mal pour ça.La sage-femme arrive, Céline. Elle comprend pour le monitoring. Elle m’examine, le col est déjà dilaté de 7 cm. Elle propose d’oublier le monito et d’aller directement en salle de naissance si je préfère. Elle posera juste la sonde quelques secondes pour vérifier ton rythme cardiaque.
Je ne veux pas m’allonger pour le moment. Je reste debout, en m’appuyant contre le lit. Ton papa me masse le bas du dos. Ça me fait vraiment du bien.Entre chaque contraction on discute, on plaisante même avec la sage-femme et l’auxiliaire de puériculture. On se dit qu’il faudrait qu’on se décide pour ton prénom …Céline me demande si je veux accoucher debout. Mais je ne sais pas, j'ai envie de m’allonger. Elle en profite pour m’examiner. Tu es déjà presque là ... Dès que je sentirais l’envie, je pourrais pousser. J’appréhende les prochaines minutes, quelque chose me retient. Mais Céline et Brigitte (l’auxiliaire) me rassurent, m’encouragent. J’ai le temps.
Les 5 minutes qui suivent vont être intenses. Ton papa s’installe derrière moi, il me tient les bras pour m’aider à chaque contraction. Je ne peux m’empêcher de crier ma douleur, comme pour l’aider à sortir, comme pour t’aider toi. J’essaye de me détendre entre chaque, je reprends mon souffle. J’ai même ri avec Céline et Brigitte quand ton papa m’a dit de ne pas m’endormir … comment le pourrais-je !! Et puis je te vois, j’entends Céline, elle me dit de t’attraper … ça va tellement vite, mes mains tremblent … et tu es là, sur moi, contre moi … tu es toute ronde, toute chaude … je pleure, je ris, je te renifle et te caresse … Bienvenue Augustine. Il est 7h15. Ces instants sont uniques, magiques …Céline et Brigitte nous laisse faire connaissance, juste nous trois. Tu auras très vite envie de téter. J’ai déjà hâte que tu rencontres tes sœurs, j’ai déjà hâte d’être chez nous … on sortira de la maternité au bout de 24h.
Tu es la cerise qui manquait à notre gâteau …
Ma Minuscule, ma Paupiette, ma Surprise, ma Cerise, ma Jolie, ma Toute Petite ...
Ce gâteau on le voit partout, il n'a pas pu vous échapper si vous vivez sur notre planète.
Alors forcément, j'ai voulu le tester.
Je l'ai déjà fait plusieurs fois, même Mr Mijote l'a fait !
Et à chaque fois, c'est magique ... et c'est bon !
Mangez le bien froid, vous verrez c'est meilleur !
Gâteau magique à la vanille
On y met quoi ?
4 oeufs
125g de sucre en poudre
1/2 litre de lait
1 gousse de vanille
125g de beurre
115g de farine
On fait comment ?
Faites bouillir le lait avec la gousse de vanille que vous aurez fendue en deux et grattée.
Laissez ensuite refroidir.
Dans un saladier, mélangez les jaunes d'oeufs et le sucre. Incorporez le beurre fondu puis la farine et le lait vanillé.
Battez les blancs en neige et incorporez-les au mélangé précédent. C'est assez liquide, donc n'hésitez pas à le faire au fouet.
La pâte de doit pas être homogène, il doit rester des grumaux de blancs en neiige, c'est ce qu donnera la couche de génoise !
Versez dans un moule à manquer (22/23cm pour moi) beurré er fariné.
Enfournez dans un four préchauffé à 150° pour 50 minutes.
Laissez refroidir ... coupez et admirez la magie !
Bon appétit, et bon après-midi !
Une commande de mon amie pour sa puce.
Un petit ensemble tout doux et tout moelleux pour l'hiver qui arrive ... s'il arrive !
Rien de bien compliqué :
Un snood en polaire et coton, 2 rectangles cousus ensembles.
Des guêtres tricotées : point jersey et côtes 2/2 pour le haut et le bas, un petit noeud pour rappeler le snood !
Jolie Augustine a joué le jeu des essayages ...
Envie de petites robes pour les Petites Jolies, j'ai trouvé ce joli tissus tellement agréable à porter ... avec l'idée de leur faire chacune une robe dedans.
Le même tissus, mais 2 modèles différents.
Voici la robe de Jolie Augustine ... Photo portée, donc photo floue !
Allez lui demander de rester tranquille 2 minutes : impossible !
Tissus Myrtille, un coton/viscose tout doux et très souple (mais qui glisse, une horreur à coudre !!).
Patron de la tunique à encolore élastique des IPBB, taille 18 mois pour largeur (la demoiselle porte du 2 ans, voir 3 ans). Je l'ai ralongée et j'ai ajouté des poches (selon ce Tuto).
Jolie Augustine aime sa robe et Jolie Louise attend la sienne avec impatience !!
Belle fin de journée !